|
|
N. codonandra (Brassospora) |
N. obliqua (Lophozonia) |
N. pumilio (Nothofagus) |
N. solanderi (Fuscospora) |
N. alessandri (Fuscospora) |
N. dombeyi (Nothofagus) |
N. menziesii (Lophozonia) |
N. nitida (Nothofagus) |
Les groupes polliniques |
||
N. cunninghamii (Lophozonia) |
N. antarctica (Nothofagus) |
|
|
|
N. betuloides (Nothofagus) |
N. truncata (Fuscospora) |
N. alpina (Lophozonia) |
|
|
||
N. moorei (Lophozonia) |
N. gunnii (Fuscospora) |
N. fusca (Fuscospora) |
N. glauca (Lophozonia) |
Déjà commencée par van Steenis sur la
base des cupules, la subdivision du genre Nothofagus s'est poursuivie par
l'analyse des pollens au microscope et leur regroupement (Dettmann). La plus récente classification
date de 1993 (Hill et Jordan). Trois groupes principaux sont reconnus : le type N.
brassii, le type N. fusca et le type N. menziesii. Les deux
premiers types sont à leur tour subdivisés : types N. brassii a, b et c (a et b
sont uniquement fossiles) et types N. fusca a et b. Enfin, sur la base des pollens
fossiles, on distingue deux autres groupes, dits ancestraux, le type ancestral a et le
type ancestral b. Les types polliniques produits par les espèces actuelles donnent
naissance aux quatre sous-genres actuellement décrits :
Brassospora
(type N. brassii
c),
Lophozonia
(type N.
menziesii),
Fuscospora
(type N. fusca a) et
Nothofagus
(type N. fusca b).
|
|
Autres espèces fossiles de groupe
pollinique indéterminé : N. azureus (Nouvelle-Zélande, Miocène) N. beardmorensis (Antarctique, Pliocène, espèce caduque à croissance très lente qui poussait par 86 ° de latitude sud, à 400 km du pôle sud !) N. melanoides (Nouvelle-Zélande, début du Crétacée, espèce caduque des hautes latitudes capable de traverser plusieurs mois d'obscurité hivernale) N. muelleri (Ett.) Paterson (Australie, fin de l'Eocène) N. ninnisiana (Unger) Oliver (Nouvelle-Zélande, Eocène et Oligocène) N. plicata (Sud de l'Australie, Eocène, espèce caduque) N. smithtonensis (Tasmanie, Oligocène) |